Научная статья на тему 'The Medicine word: “the memory of the words” and the contribution of the transcultural'

The Medicine word: “the memory of the words” and the contribution of the transcultural Текст научной статьи по специальности «Языкознание и литературоведение»

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Ключевые слова
TRANSCULTURALITY / MEDICAL LANGUAGE

Аннотация научной статьи по языкознанию и литературоведению, автор научной работы — Tosheva Aneta

IntroductionAppréhendée comme un vecteur culturel dans un espace de rencontre de deux modèles culturels, la langue traduit l’interaction et le positionnement par rapport à l’autre; c’est ce qui correspond à la notion d’approche culturelle, dans l’acception moderne du terme. S’opposant à l ’interculturel dans la langue, établissant un rapport entre les acteurs d’un espace communicatif appartenant cognitivement et axiologiquement à deux cultures, le transculturel correspond ici à l’idée de transversalité, de partage : c’est avant tout le lexique « que la culture investit de toute part » (Von Münchow 2010, cit. d’Orecchioni 1999) et qui se trouve partagé par les communicants.Cette contribution qui s’attache à repérer le transculturel dans le discours professionnel de la médecine, vient compléter une étude plus large (Tosheva 2006, 2008, 2015)1 défendant l’hypothèse que la confrontation interlinguale de textes médicaux ferait ressortir certaines particularités interprétables en termes d’asymétries2 interculturelles, ainsi qu’un fonds conceptuel

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Текст научной работы на тему «The Medicine word: “the memory of the words” and the contribution of the transcultural»

Научни трудове на Съюза на учените в България-Пловдив, Серия A. Обществени науки, изкуство и култура том III, ISSN 1311-9400 (Print) ; ISSN 2534-9368 (On-line), 2017, Scientific works of the Union of Scientists in Bulgaria-Plovdiv, seriesA. Public sciences, art and culture, Vol. III, ISSN 1311-9400 (Print); ISSN 2534-9368 (On-line), 2017.

LE MOT MÉDICAL : "LA MÉMOIRE DES MOTS" ET L'APPORT DU

TRANSCULTUREL Aneta Tosheva Université médicale de Plovdiv, Bulgarie

THE MEDICINE WORD: "THE MEMORY OF THE WORDS" AND THE CONTRIBUTION OF THE TRANSCULTURAL

Aneta Tosheva Medical University of Plovdiv, Bulgaria

Abstract.

The article is focused on the transcultural elements in a medical language, used in documents that contain information about imaging and functional surveys as well as those found in surgical records. They are mostly medical eponyms and metaphors, acting as a vehicle of "shared" knowledge (historical, ethnocultural, etc.). The tense (la tension) between the terminological meaning of a given word per se and its cultural charge (charge culturelle) is a proof for the presence of a common linguistic phenomenon with a transversal, transcultural character, and it is also a precondition for easy interprofessional communication, including the interlingual one, and makes it different from the proceedings of the intercultural.

Key words: transculturality, medical language

Introduction

Appréhendée comme un vecteur culturel dans un espace de rencontre de deux modèles culturels, la langue traduit l'interaction et le positionnement par rapport à l'autre; c'est ce qui correspond à la notion d'approche culturelle, dans l'acception moderne du terme. S'opposant à l'interculturel dans la langue, établissant un rapport entre les acteurs d'un espace communicatif appartenant cognitivement et axiologiquement à deux cultures, le transculturel correspond ici à l'idée de transversalité, de partage : c'est avant tout le lexique « que la culture investit de toute part » (Von Münchow 2010, cit. d'Orecchioni 1999) et qui se trouve partagé par les communicants.

Cette contribution qui s'attache à repérer le transculturel dans le discours professionnel de la médecine, vient compléter une étude plus large (Tosheva 2006, 2008, 2015)1 défendant l'hypothèse que la confrontation interlinguale de textes médicaux ferait ressortir certaines particularités interprétables en termes d'asymétries2 interculturelles, ainsi qu'un fonds conceptuel

1 Il s'agit de 86 textes français et de 32 textes bulgares authentiques, représentant des comptes-rendus d'imagerie médicale, d'explorations fonctionnelles et d'interventions, qui nous ont été fournis et que nous avons explorés avec le consentement des bénéficiaires.

2 Les termes de symétrie et d'asymétrie, termes opératoires de base dans la linguistique contrastive et les théories de la traduction (Melby 2003), sont employés ici comme des termes génériques désignant des correspondances fonctionnelles isomorphes et allomorphes entre deux langues.

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partagé à caractère transculturel.

Le transculturel et la « fonction mémorielle des mots »

Généralement, on attribue au terme médical les traits pertinents d'univocité dénominative, d'invariance situationnelle, de neutralité émotive et d'économie formelle. Or, l'observation des textes médicaux fournit de nombreux exemples à l'encontre de ces considérations théoriques dépassées ; pour la plupart, ceux-là se rapportent au domaine du transculturel.

Le fondement de cette transculturalité réside peut-être dans le phénomène transculturel par excellence que la médecine représente. Nous nous permettrons d'évoquer ici un long extrait de Dr. P. Bouché :

« ... la médecine a la particularité de toucher à l'existence même de chaque individu ; elle peut soulager et guérir, mais aussi condamner, parfois enfermer (comme dans le cas de maladies psychiatriques). Etant liée à la naissance et à la mort, elle touche également aux grandes interrogations métaphysiques de l'être humain » (Bouché 1994 :6)

Nous considérons qu'une grande partie des termes médicaux d'origine grecque et latine évoquant ces états universels, constituent en fait des phénomènes de transculturalité. Des arguments en faveur de cette affirmation sont à invoquer à partir de la « pragmatique lexiculturelle » de R. Galisson, des développements de O. Galatanu sur le potentiel discursif des mots et ceux de S. Moirand sur « la mémoire des mots ».

Pour R. Galisson (Galisson 2000), les mots sont les « interfaces entre deux objets d'étude parce qu'ils relèvent statutairement de la langue, donc la représentent, et que certains d'entre eux sont aussi de puissants accumulateurs de culture » (Galisson 2000 : 50). Dans cette optique, le vocabulaire d'une langue serait investi d'une 'charge culturelle partagée', une culture transversale constituant une 'valeur sémantique ajoutée' à la signification lexicale primaire de l'unité lexicale3.

O. Galatanu établit un modèle théorique appelé Sémantique des Possibles argumentatifs qui est un « modèle de représentation de la signification lexicale, susceptible de rendre compte à la fois des représentations du monde 'perçu' et 'modélisé' par la langue et du 'potentiel discursif' au niveau des enchaînements argumentatifs des mots » (Galatanu 2008). A travers ce modèle, elle aborde deux phénomènes relevant des fonctionnements du langage mais « traités en Sciences du langage plutôt séparément » (ib.), notamment la signification des mots avec «son noyau identitaire » et sa « charge culturelle », signification qui « contraint les discours et donc les représentation du monde qu'ils proposent et que les destinataires construisent », et le discours qui « exerce une pression sur la signification des mots qui se charge et se décharge de valeurs et d'associations de représentations nouvelles et différentes d'une culture à l'autre » (ib.).

Ainsi, c'est dans le discours que le mot se trouve actualisé, activé, tout en réactivant sa charge culturelle. Dans les mots et les locutions comme narcissisme, syndrome de Rapunzel cette partie de la signification lexicale qui est liée à des représentations culturelles peut être réactivée en co-texte (environnement immédiat du mot) et cette réactivation dans le cas du lexique médical mobilise des savoirs qui sont pertinents dans une mesure différente pour l'interprétation globale. C'est ce que nous appellerons ici mémoire discursive à la suite de Berendonner (cit. Adam 2006), qui la définit comme l'« ensemble des savoirs consciemment partagés par les interlocuteurs » est c'est à cette mémoire que l'énonciateur et le destinataire font appel au cours de leurs échanges verbaux. Une jolie métaphore, la mémoire des mots (Clas in Actes 1998, Moirand 2004) rend compte de la « fonction mémorielle des unités lexicales » ( Mejri 1998 :9) qui rend possibles les réactualisations de la charge culturelle de la signification du mot, même dans les cas où le sémantisme initial avait été évacué (rappelons le terme de hystérie formé sur la racine grecque de utérus, organe tenu responsable pour cet état pathologique).

Les éponymes médicaux

3 « Charge renvoie à une idée de supplément, d'ajout au contenu du mot ; culture inscrit cette charge dans l'au-

delà de la dénotation dont traitent les dictionnaires de langue (...), partagée est le propre de la culture (toute culture est un produit communautaire) » (Galisson 2000 : 55-56).

Un fil de transversalité culturelle est celui des éponymes médicaux qui sont nombreux dans le langage médical et qui abondent dans les comptes-rendus d'examens et particulièrement dans les parties renvoyant au diagnostic. Les éponymes sont une source intarissable de suggestions transculturelles puisque chaque terme portant un nom propre a sa propre histoire culturelle. Il y a des éponymes qui renvoient à des personnages bibliques (complexe de Caïn) aux personnages du panthéon grec et demandent une remontée aux mythes et aux légendes des temps anciens (amnésie, iridectomie, tendon d'Achille, syndrome d'Ulysse), à des personnages fictionnels (syndrome de Pickwick, syndrome d'Alice au pays des merveilles), à des médecins, chirurgiens ou savants ayant donné leur nom à une maladie, un syndrome, technique ou procédé d'exploration (signe de Babinski, hippocratisme digital), voire à des patients (Christmas factor).

Concernant les éponymes à forte empreinte historique ou littéraire on fera référence à un autre terme de Galisson, celui des palimpsestes verbo-culturels. En effet, des éponymes comme complexe d'Œdipe, syndrome deMunhausen représentent des fragments d'énoncés qui produisent une « surépaisseur », un « chevauchement par rapport à un énoncé ordinaire, une sorte de « télescopage de signes porteurs de connaissances sociales partagées » (Galisson 2000 : 57).

Il existe des éponymes nouvellement créés aux temps modernes, tels le toponyme syndrome de Jérusalem qui correspond à l'identification de la personne atteinte à des personnages bibliques, le syndrome de Porto-Rico, syndrome hystérique décrit par les médecins militaires américains. Plus on avance dans la globalisation, plus on s'efforce de donner un nom particularisant à un signe, une maladie ou syndrome déterminé géographiquement ou ethniquement qui soit reconnaissable par un large public de professionnels. Revenant vers les comptes-rendus concernés par cette étude, il convient de mentionner la soi-disant « hermétisation » des protocoles opératoires survenue à la suite de la profusion de termes éponymes indiquant des procédés, techniques et instruments chirurgicaux. Paradoxalement, plus un terme est « hermétisé » , plus il devient transversal donc transculturel dans le milieu intraprofessionnel des médecins.

Une intervention de Mac Burney a été réalisée sans difficulté particulière.

Mise en place d'une sonde de Swan Ganz pour la surveillance per et post-opératoire.

Préparation du circuit extracorporel : pompe Sarns, oxygénateur à membrane Bard, deux aspirateurs intracardiaques, remplissage au Ringer.

Les métaphores médicales

Une visite rapide des lieux habités par des savoirs culturels partagés transcendant le registre médical de toutes les langues européennes, mettra immanquablement en évidence les résultats des processus de métaphorisation qui se sont produits aussi bien au niveau du mot médical qu'au niveau de l'énoncé. En effet, presque la totalité des termes anatomiques de base sont des mots communs prototypiques ayant été repris par le domaine médical et ayant souvent conservé le trait sémantique de ressemblance et parfois le lien prédicatif avec le mot-source. (La membrane méningée évoquant la toile d'araignée porte le nom d'arachnoïde). Ces termes anatomiques4 constituant des métaphores lexicalisées (catachrèses) proviennent des domaines du règne animal (hippocampe, pédoncule, corne, pied, bras, aile, genou...), du règne végétal (écorce, branche, racine, tronc, olive, arbre de vie...), du relief (fosse, vallée, insula, sillon, trou.), des produits de l'activité humaine (seuil, crochet, bourrelet, pilier, avant-mur, couronne, faux, tente, cordon, toit, gouttière, calotte, frein, toile, ruban, aqueduc, anse.). Les langues modernes ont reproduit ce mécanisme de métaphorisation mis en œuvre dans le latin et le grec depuis le temps d'Hippocrate (460-377 av. n. ère) en reprenant et en conservant ainsi l'imagerie et « la mémoire » du mot médical, à quelques différences près et pour des raisons culturelles: les anciens Grecs ont assimilé le vermis cérébelleux à une grappe de raisin ce qui a donné botrys. Par ailleurs, les termes pie-mère et dure-mère, empruntés aux traductions de l'arabe, ont été remplacés par meninx sclera et meninx pachera, puisque les termes anatomiques référant à l'image de la mère étaient considérés comme

4 Les exemples qui suivent se réfèrent à l'anatomie du cerveau.

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inacceptables par les Grecs anciens5.

La métaphorisation de noms communs est un processus complexe d'évolution historique, socio-culturelle et formelle dans tous les domaines de savoirs spécialisés. Les cas les plus intéressants à relever dans un texte médical sont ceux des locutions métaphoriques qui, associés à un seul référent, acquièrent aussi ce statut (syndrome du cri de chat; doigts en col de cygne; kyste goudronneux, poumon d'acier; langue rôtie). D'apparition plus récente, ces termes composés gardent la trace de leur prédication ayant motivé le transfert métaphorique et il se trouve assez souvent qu'un même fait de perception soit saisi différemment par la langue-source et la langue-cible au cours d'une traduction (ulcères en miror en français vs целуващи се язви (ulcères « s'embrassant ») en bulgare). La conceptualisation et la verbalisation du savoir approprié par la perception visuelle et tactile peuvent être illustrées par de nombreux exemples recueillis dans des textes cliniques: angiome en tache de vin, angiome stellaire... ; doigts en boutonnière, doigts en maillet, doigts en griffe, doigts en baguette de tambour, doigts en lorgnette, doigts en saucisse... ; aspect en dos de chameau, aspect en coup de vent... ; ventre de batracien, visage en masque d>albâtre... ; signe de l'éventail, signe du tiroir, signe du lacet... ; langue framboisée, clocher de la température, pied marin, crâne en sablier, hémorragie en nappe, tumeur en corbeillage, géode ;carie cliniquement muette, stade silencieux, fistule borgne... Dans un discours « ouvert » ils restituent l'image fondatrice (le cygne, la lorgnette, la boutonnière, le sablier...), mais dans un discours « fermé », intraprofessionnel, ces locutions fonctionnent comme tout autre terme technique.

Depuis Aristote, quand la métaphore se disputait la couronne de la rhétorique avec la métonymie et la synecdoque, les théories relatives à la métaphore sont partagées entre le comparativisme (la métaphore ne serait fondée que sur la ressemblance) et le sémantisme cognitif qui établit une relation entre domaines cognitifs. En effet, on ne saurait pas inférer que le vermis du cervelet posséderait des traits communs avec le ver, à partir de sa description anatomique détaillée (le vermis du cervelet possède une feuille, une lingula, une uvula, un cortex... ). Si l'on considère la métaphore comme un fait de pensée, comme le résultat d'une projection multifocale dans des espaces mentaux mobilisant des savoirs et mettant en œuvre des processus logico-cognitifs complexes tels que l'analyse, l'inférence, l'abstraction et la différenciation (la théorie de l'intégration conceptuelle développée par G. Fauconnier et M. Turner 2003), on pourrait expliquer et légitimer la création pratiquement illimitée de nouvelles métaphores dans le domaine médical. En voici quelques unes: la cataracte peut avoir l'apparence de feuilles de fougères ; le cancer du côlon a un aspect en trognon de pomme ; la pancréatite aiguë se désigne comme drame abdominal de Dieulafoy. Le caillot peut migrer vers les poumons. La sclérose en plaques peut avoir une forme éteinte et la carie peut évoluer à bas bruit. Quant aux larmes de crocodile, il s'agit d'un syndrome évoquant la paralysie faciale. Insolites pour toute personne en dehors du domaine de la praxis médicale, ces métaphores font partie d'un fonds terminologique transculturel qui ne cesse de s'enrichir.

Des fois, le transculturel, toujours reconnaissable au niveau du lexème, se décline en termes particuliers dans les langues différentes et selon les époques. P. Faure évoque les nombreuses appellations de la syphilis (nom forgé à partir du nom du héros Syphilus, personnage d'un poème rédigé en latin par le poète médecin italien Girolamo Fracastoro (Faure 2012 : 30) Ainsi, cette maladie avait été connue en France sous le nom de « mal vénitien », « mal de Naples » ou « mal néapolitain », « maladie de Coupidon », « grande vérole », « maladie vénérienne », « clavela » ; en Angleterre « la maladie de Canton ». Or, le mot scientifique est tréponématose (ib. : 30)

Y a-t-il de l'interculturel dans le transculturel ? Nécessairement. Les asymétries à signaler

5 Un terme de l'anatomie du cerveau, présent dans toutes les langues modernes, est l'arbre de vie (arbor vitae).

L'image de l'arbre renvoie à l'archétype transculturel de l'Arbre du Monde symbolisant les trois domaines cosmogoniques présents dans de nombreuses cultures, le Ciel, la Terre et l'Enfer.

dans la partie relative aux métaphores médicales concernent exclusivement le domaine français où les termes initialement repris sur le latin sont sujets à des sur-interprétations et assez souvent, à des profusions synonymiques ou paraphrastiques. Rappelons que le latin constitue une sorte de tertium comparationis par rapport au vocabulaire médical ce qui laisse percevoir toute traduction asymétrique. En voici quelques-unes : pons (lat) - protubérance annulaire et pont de Varole (fr), pars dorsalispontis (lat)-calotte (fr) ; oliva (lat)- olive bulbaire (fr), apertura lateralis ventriculi quarti(lat) - trou de Lushka (fr). Quant au domaine bulgare, la grande majorité des termes anatomiques résultent d'une traduction littérale faite du latin et la transversalité peut y etre considérée comme une sorte de transversalité adoptée, calquée sur un modèle précédemment forgé.

Conclusion

Nous considérons, avec O. Galatanu, que le jeu et les tensions entre la signification des mots portant une charge culturelle (phénomène proprement linguistique) et le discours médical, opérant l'ancrage de ces significations dans un contexte fortement marqué par une praxis sociale concrète, et dont l'acceptabilité est fortement dépendante de ce contexte, sont censés « expliquer des blocages, des malentendus et des insuffisances dans la réception de la communication » par un non professionnel. (Galatanu : 2008) : dans cette optique, les repères que nous avons indiqués devraient être pris en compte aussi bien par les traducteurs médicaux que par les concepteurs de logiciels en traductique pour assurer une approche très attentionnée non seulement des conventions stéréotypées du discours médical mais aussi, et peut-être avant tout, des cas particuliers à charge culturelle partagée.

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