Научная статья на тему '“Albanization” of Artsakh Monuments as One of the Manifestations of Anti-Armenian Discourse in Azerbaijan։ the Example of Tsaghkavank'

“Albanization” of Artsakh Monuments as One of the Manifestations of Anti-Armenian Discourse in Azerbaijan։ the Example of Tsaghkavank Текст научной статьи по специальности «Гуманитарные науки»

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Ключевые слова
Tsakhkavank Church / the inscriptions / anti-Armenian / Artsakh / Azerbaijan

Аннотация научной статьи по Гуманитарные науки, автор научной работы — Lyuba Kirakosyan

The article presents the plan and spatial composition of the Tsakhkavank church in the village of Tsakuri, Hadrut region of the Republic of Artsakh, as well as the construction inscriptions in Armenian written on the walls. Today, the church is occupied by Azerbaijan, which, ignoring all the facts, is conducting a clear policy of eradicating the Armenian cultural and historical traces from the territory of Artsakh, threatening to eliminate and delete the inscriptions of the Armenian churches of Artsakh. The example of Tsaghkavank emphasizes the policy of falsification of regional history, which is a part of the institutionalized anti-Armenian discourse in Azerbaijan.

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Текст научной работы на тему «“Albanization” of Artsakh Monuments as One of the Manifestations of Anti-Armenian Discourse in Azerbaijan։ the Example of Tsaghkavank»

YEREVAN STATE UNIVERSITY

Department of Translation Studies

TRANSLATION STUDIES: THEORY AND

PRACTICE

International Scientific Journal

Special Issue 1

Lectures Croisées des Discours

Hiatus entre Réalités Sociopolitiques, Récits de Mémoire et Approches Interprétatives

Guest Editors

Garik Galstyan, Gayane Sargsyan, Taguhi Blbulyan

YEREVAN 2023

DOI: https://doi.org/10.46991/TSTP/2023.SL1.108

"Albanization" of Artsakh Monuments as One of the Manifestations of Anti-Armenian Discourse in Azerbaijan: the Example of Tsaghkavank

Lyuba Kjrakosyan* https://orcid.org/0000-0002-5612-6177

National University of Architecture and Construction of Armenia

Abstract: The article presents the plan and spatial composition of the Tsakhkavank church in the village of Tsakuri, Hadrut region of the Republic of Artsakh, as well as the construction inscriptions in Armenian written on the walls. Today, the church is occupied by Azerbaijan, which, ignoring all the facts, is conducting a clear policy of eradicating the Armenian cultural and historical traces from the territory of Artsakh, threatening to eliminate and delete the inscriptions of the Armenian churches of Artsakh. The example of Tsaghkavank emphasizes the policy of falsification of regional history, which is a part of the institutionalized anti-Armenian discourse in Azerbaijan.

Keywords: Tsakhkavank Church, the inscriptions, anti-Armenian, Artsakh, Azerbaijan

L'« Albanisation » des Monuments de l'Artsakh comme une des Facettes du Discours Anti-Arménien en Azerbaïdjan : le Cas du Monastère Tsakhkavank

Résumé : L'article présente le plan et la composition spatiale de l'église de Tsakhkavank dans le village de Tsakouri, région de Hadrout de la République d'Artsakh, ainsi que les inscriptions de construction en arménien écrites sur les murs. Aujourd'hui, le village est occupé par l'Azerbaïdjan qui, ignorant tous les faits, mène une politique claire d'éradication des traces culturelles et historiques arméniennes du territoire de l'Artsakh, menaçant d'éliminer et de supprimer les inscriptions des églises arméniennes des territoires occupés de l'Artsakh. L'exemple de Tsaghkavank met l'accent sur la politique de falsification de l'histoire régionale, qui fait partie du discours anti-arménien institutionnalisé en Azerbaïdjan.

Mots-clés : Église de Tsakhkavank, inscriptions, anti-arménien, Artsakh, Azerbaïdjan

* kirakosyanlyuba@gmail.com

This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial 4.0 International License.

Received: 23.01.2023 Revised: 01.02.2023 Accepted: 27.02.2023 © The Author(s) 2023

1. Introduction

Une partie des monuments d'Artsakh est passée sous le contrôle de l'Azerbaïdjan à la suite de la guerre de quarante-quatre jours en 2020. Après la fin des hostilités, de nombreux cas de destruction délibérée de monuments arméniens ont immédiatement été enregistrés dans ces territoires. L'exemple de l'église de la Sainte-Vierge (Surb Astvatsatsin) de Tsakhkavank en est un. En mars 2021, lors d'une visite en région de Hadrout et, en particulier, du village de Tsakouri, le président de l'Azerbaïdjan Ilham Aliyev, pointant du doigt l'inscription sur le linteau (baravor) de l'église de Tsakhkavank, a déclaré que ces inscriptions étaient fausses, tardivement ajoutées. Il fallait ainsi les effacer afin de rétablir la « justice » historique. Bien avant la guerre, pendant la période soviétique, aucun chercheur azerbaïdjanais n'a jamais fait la moindre allusion à cette église. Pendant cette période, elle a été utilisée comme entrepôt. Cependant, aujourd'hui, elle est « considérée » comme oudie et les Arméniens sont accusés de l'avoir « arméniser ». Les Oudis sont un peuple du Caucase vivant principalement en Azerbaïdjan, au Daghestan (Russie), en Géorgie et en Arménie, au total environ dix mille personnes. Leur langue fait partie de la famille nakho-daghestanaise. Les Oudis sont très majoritairement chrétiens, attachés autrefois au catholocossat d'Albanie intégré à l'Eglise apostolique arménienne. Il s'agit aujourd'hui d'un petit groupe - selon la version officielle - de moins de 4 000 personnes. Le 26 mai 2003, une entité religieuse a été officiellement enregistrée sous le nom de Communauté chrétienne albano-oudie de la République d'Azerbaïdjan.

L'objet de cette étude est de présenter l'église de la Sainte Vierge de Tsakhkavank et, sur la base de faits et d'inscriptions lapidaires, d'affirmer son appartenance incontestable au patrimoine architectural arménien. On s'est penché par ailleurs sur des informations et documents ayant circulé dans les médias et sur les réseaux sociaux relatifs à la politique de l'Azerbaïdjan à l'égard de monuments passés sous contrôle azéri après la guerre de quarante-quatre jours - Sainte-Vierge de Tsakouri, Dadivank, Tsitsernavank, Sainte Croix de Vank, Saint Jean-Baptiste ou église Verte de Chouchi - et la réaction arménienne à ce sujet.

2. L'architecture et la description de l'église

L'église de la Sainte-Vierge de Tsakhkavank se trouve dans le village de Tsakouri de la région de Hadrout de la République de l'Artsakh actuellement occupé par l'Azerbaïdjan (fig.1).

Figure 1. L'église de Tsakouri, vue de l'ouest

Shahen Mkrtchyan a étudié l'emplacement, l'architecture et la datation de l'église (Mkrtchyan 1985: 115-116). Une brève description de la Sainte Vierge se trouve aussi dans le livre de Varazdat Harutyunyan consacré à l'histoire de l'architecture arménienne (Harutyunyan 1992: 402). L'architecture de l'église de la Sainte Vierge de Tsakhkavank et son origine est présentée sur le site https://monumentwatch.org.

Au milieu du XIXe siècle, le village comptait 22 foyers arméniens et appartenait à la famille Haïkaz Mirzabekiantz. En 1992, la commune avait déjà 60 maisons et 400 habitants.

L'église de Tsakhkavank appartient au groupe de basiliques arméniennes à trois nefs dont les nefs latérales débouchent, en partie orientale, sur les sacristies adjacentes à l'autel. La seule entrée de l'église est située dans sa partie occidentale, sur l'axe est-ouest (fig.2).

Figure 2. Le plan de l'église. Mesures de S. Ayvazyan

L'intérieur est couvert de plâtre, tandis que les piliers, les voûtes, les niches et le front de l'autel sont appareillés de pierres taillées de couleur bleuâtre. Quant aux parois, elles sont construites de pierres grossièrement taillées. Le seul élément d'apparat dans cet ensemble très sobre est le portail. Au centre du linteau on trouve un petit khachkar1 entouré de deux plaques sur lesquelles est conservée une inscription arménienne relative aux travaux de construction. Selon celle-ci, l'église a été construite par l'archimandrite Hakop, en 1682 (fig. 3). Cependant, un khachkar, daté de 1196 et conservé aux alentours, laisse à penser que l'église fut construite à l'emplacement d'un monument précédent plus ancien (Mkrtchyan 1985: 115-116).

Figure 3. Le portail ouest de l'église et l'inscription arménienne

Les études et les analyses comparatives montrent que la conception volumétrique et planimétrique de l'église de Tsakhkavank est assez répandue non seulement dans l'architecture ecclésiastique du Moyen Âge tardif de l'Artsakh, mais aussi au Syunik (monastère de Shinouher, Knevank) (Hasratyan 1973: 78-79), au Nakhidjevan (église Saint-Thomas d'Agoulis), ainsi que dans d'autres régions d'Arménie (église Zoravor d'Erevan). Il s'agit là, en fait, d'une école architecturale des XVIIe-XVIIIe siècles dont les œuvres sont éparpillées en Arménie orientale.

1 Sur les khachkars (croix de pierre) voir : « L'art des croix de pierre arméniennes. Symbolisme et savoir-faire des Khachkars ». Inscrit en 2010 (5.COM) sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

3. Son état avant, pendant et après la guerre

Après sa fermeture à l'époque soviétique, en 1920, l'église a été utilisée pendant des décennies en tant que lieu de stockage pour le kolkhoze, tandis qu'à l'époque postsoviétique elle a été désaffectée. Cependant, elle ne manquait pas de visiteurs qui venaient pour prier et y mettre des bougies.

En vue de la préservation du patrimoine culturel et religieux de l'Artsakh, Svetlana Tatountsi, professeure à l'Université d'État de Moscou et arrière-petite-fille du dernier prêtre de l'église, avait déjà procédé aux travaux de réhabilitation de l'église de la Sainte-Vierge. Cependant, ceux-ci ont été interrompus par la guerre de quarante-quatre jours en 2020 (fig. 4).

Lors de sa visite en région de Hadrout et, en particulier, à Tsakouri, en mars 2021, le président de l'Azerbaïdjan Ilham Aliev, pointant du doigt l'inscription sur le linteau de l'église de Tsakhkavank a déclaré que ces inscriptions étaient fausses et que les Arméniens les avaient rajoutées tardivement afin d'« arméniser » une église appartenant à l'origine à leurs frères oudis et qu'il allait donc rétablir la « justice historique ».

À peine un an plus tard, le 3 février 2022, le site azéri Report news agency a publié un article reprenant la déclaration du ministre azéri de la culture Anar Kerimov selon laquelle l'Azerbaïdjan mettait en place un groupe de travail spécial constitué de spécialistes de l'histoire, de la culture et de l'architecture albanaise, ainsi que de représentants des autorités nationales qui, après « études », doivent supprimer « les fausses inscriptions et traces gravées ou rajoutées par les Arméniens » (Report 2022).

Cette déclaration d'un haut représentant azéri témoigne d'une politique claire de suppression pure et simple des traces culturelles et historiques arméniennes de

l'Artsakh. Il s'agit donc de faire disparaitre les inscriptions des églises arméniennes de cette contrée qui constituent les témoignages primordiaux et les plus importants de l'appartenance de ce patrimoine.

Étant donné que la communauté internationale n'approuvait pas les actes de vandalisme azéri à l'égard des églises arméniennes après la guerre de quarante-quatre jours, l'Azerbaïdjan a décidé d'adopter une autre stratégie, celle de conserver les monuments arméniens en supprimant en même temps toute trace de leur arménité et en s'appropriant l'ensemble du patrimoine de cette communauté chrétienne.

Afin de prouver l'origine « non arménienne » de ces monuments, la propagande azérie recourt à tous les moyens possibles. Elle fait appel à des représentants de diverses communautés ou organisations chrétiennes exerçant en Azerbaïdjan, et organise avec ces dernières des visites des églises des territoires occupés. La visite d'Aliev à l'église de la Sainte-Vierge de Tsakouri en est une.

Il convient de noter qu'avec les visites de représentants de communautés « albanaise » et oudie, ces monuments sont proclamés albano-oudis. Les visites évoquées servent de signal au déni de leur identité arménienne et à la falsification de l'histoire. Les nouveaux visiteurs se moquent ouvertement des sources historiques authentiques. L'exemple de l'église de Tsakhkavank a fait suite à la « requalification » des monastères de Dadivank et de Tsitsernavank comme monuments oudis.

4. L'« albanisation » des monuments arméniens de l'Artsakh : une « affaire » d'État

La politique de l'Azerbaïdjan se distingue par une propagande anti-arménienne qui se réalise par le biais du discours gouvernemental et celui des médias de masse. Le 4 novembre 2021, la première chaîne azérie CBC TV Azerbaïdjan place sur YouTube une vidéo intitulée : « Les membres de la communauté chrétienne albano-oudie de l'Azerbaïdjan visitent Hadrout ». Dans cette vidéo Robert Mobili, l'un des membres de cette communauté, a fait remarquer qu'il s'agissait de leur visite historique au monastère de la Croix blanche du village de Vank (CBC TV). Il est évident que le serviteur de la propagande azérie fait peu de cas de l'inscription arménienne sur le linteau de cet édifice religieux. En réponse à ces falsifications, les Arméniens ont souligné, en traduisant l'inscription en question, que l'église fut construite en 1682 (Barkhudaryan 1982: 5). C'est l'année où Tahmaz khan chassait les Ottomans de l'Arménie. Au mépris des faits, Mobili déclare que l'église fait partie du patrimoine albanais et que pendant « l'occupation arménienne », les Arméniens auraient rajouté de nouveaux éléments, incrusté des khachkars dans les murs, gravé des inscriptions et autres symboles arméniens en détruisant ainsi la trace albanaise.

Le site monumentwatch.org affirme que le génocide culturel n'est pas seulement la destruction de monuments, mais également la falsification de l'histoire et de l'appartenance confessionnelle, le mépris des faits, la détérioration de la mémoire et la mise en place de faux agendas culturels ou religieux. Selon le premier Protocole de la Convention de La Haye de 1954, il est interdit, dans les territoires occupés, de

s'approprier des valeurs culturelles ou spirituelles. En violation de toute norme et règle internationales en la matière, l'Azerbaïdjan continue sa politique de destruction systématique du patrimoine arménien dans les territoires occupés. Un autre exemple récent est celui de l'église Verte ou Saint Jean-Baptiste de Chouchi qui est présenté comme église russe orthodoxe. Dans une vidéo du 13 juillet 2021, diffusée sur Telegram sous le titre « Des travaux de restauration se font à Chouchi pour rendre son aspect primitif à l'église transformée en église Verte sous l'occupation arménienne », le directeur du Centre de l'histoire du Caucase, chercheur de l'Institut des droits de l'homme de l'Académie azérie des sciences, Rizvan Husseynov a affirmé que l'église était orthodoxe. C'est pour cette raison qu'elle a été rapidement « restaurée » pour les rites de la communauté orthodoxe du pays (Telemetr 2021).

En riposte à cette publication, les Arméniens ont de nouveau fait référence à l'inscription relative à la construction de l'église gravée sur deux plaques du mur ouest indiquant que celle-ci a été bâtie en 1847 par les frères Hovhannes et Baba Stepanian-Hovnanian en mémoire de leur frère Mekertitch (Baptiste en arménien) (Monument 1921).

Toutes ces publications, en particulier celle relative à l'église de Tsakouri, et la réaction à celles-ci restent des publications ponctuelles. La partie azérie et sa communauté scientifique ne sont pas prêtes à des discussions académiques. Ils ont choisi la voie de la destruction, de la falsification, du discours haineux et violent. Difficile de savoir si l'ensemble de la société civile azérie partage le même sentiment et le même point de vue que celui des autorités sur le patrimoine culturel arménien de l'Artsakh. Comme le remarque justement Alain Navarra-Navassartian, « Aliev a besoin d'un discours de va-t-en-guerre, en se départissant de toutes barrières éthiques ou morales ». Selon lui, « Le discours nationaliste est devenu une arme idéologique de cohésion, mais aussi un outil pour éviter toute protestation dans le pays » (Navarra-Navassartian 2020).

La falsification de l'histoire en Azerbaïdjan se fait sous le haut patronage de l'État. Le but poursuivi est d'exalter les Albanais du Caucase en tant qu'ancêtres présumés des Azéris, ce qui doit servir de base historique aux différends territoriaux avec l'Arménie. L'objectif est double : enraciner les Azéris sur le territoire de l'actuel Azerbaïdjan et nettoyer ce dernier de l'héritage arménien. Cette politique a été couronnée de succès dans la République autonome de Nakhitchevan où la quasi-totalité des monuments arméniens a déjà été détruite dont le plus grand cimetière arménien de Djulfa, sur la frontière avec l'Iran. Au début du XXe siècle on y dénombrait environ 10 000 khachkars, les quelques trois mille restants ont définitivement été démolis de 1998 à 2005 (Wikipedia). Selon une récente étude de chercheurs américains, 98 % du patrimoine arménien du Nakhitchevan a été détruit. Cela a été prouvé par des images satellites également (Hadjian 1922). En règle générale, l'Azerbaïdjan s'approprie le patrimoine culturel de pratiquement tous les autochtones qui vivaient sur son territoire actuel.

5. Conclusion

L'architecture de l'église de la Sainte-Vierge de Tsakhkavank appartient à une école d'architecture des XVIIe- XVIIIe siècles, dont les œuvres se sont largement répandues en Artsakh et en Arménie orientale. Les tentatives de son « albanisation » évoquent chez les Arméniens des craintes quant au sort d'autres monuments arméniens restés sous l'occupation des Azéris après la guerre de 2020. La réécriture de l'histoire et la destruction culturelle font partie des indicateurs principaux de génocide. Après la guerre de quarante-quatre jours en 2020, la question de « l'albanisation » ou de la simple éradication du patrimoine arménien s'est posée avec une nouvelle force. L'exemple de l'église de Tsakhkavank et de beaucoup d'autres révèlent la politique de falsification de l'histoire régionale qui constitue l'une des facettes du discours arménophobe institutionnalisé en Azerbaïdjan. Ainsi, le discours haineux anti-arménien ne se limite pas au seul domaine politique, il s'étend également aux autres sphères, notamment au domaine culturel où il se manifeste de la manière la plus arrogante.

Références bibliographiques :

Barkhudaryan, Sedrak, Divan hay vimagrut'yan [Code des inscriptions arméniennes], n° 5, Institut d'archéologie et d'ethnographie de l'Académie des sciences de la RSS d'Arménie, éditions de l'Académie des sciences de la RSS d'Arménie, Erevan, 1982. CBC TV : « Chleny albano-udinskoy khristianskoy obshchiny posetili Gadrut» [Les membres de la communauté crétienne albano-oudie en visite à Hadrut] https://www.youtube.com/watch?v=OqS26fM0z64 (consulté le 19/10/2022). Hadjian, Avedis, "US Researchers Confirm 98 % of Cultural Armenian Heritage Sites in Nakhichevan Destroyed by Azerbaijan," September 16, 2022. URL : https://hyperallergic.com/761723/cultural-armenian-heritage-sites-in-nakhichevan-destroyed-by-azerbaijan/ (consulté le 20/10/2022). Harutyunyan, Varazdat, Haykakan chartarapetut 'yan patmut 'yun [Histoire de

l'architecture arménienne], Luys, Erevan, 1992. Hasratyan, Murad, Syunik'i XVII-XVIII dareri chartarapetakan hamalirnery [Les complexes architecturaux de Syunik XVIIe-XVIIIe siècles], Édition de l'Académie nationale des sciences de la RSS d'Arménie, Erevan, 1973. Mkrtchyan, Shahen, Lerrnayin Gharabaghi patmachartarapetakan hushardzannery [Monuments historiques et architecturaux du Haut-Karabakh], Hayastan, Erevan, 1985.

Monument Watch: "Presentation of the Kanach Zham as Russian Orthodox Church and illegal rites performed there," 15 July 1921. URL : https://monumentwatch.org/en/alerts/presentation-of-the-kanach-zham-as-russian-orthodox-church-and-illegal-rites-performed-there/ (consulté le 10/09/2022).

Navarra-Navassartian, Alain, « Stratégies performatives dans le discours nationaliste azéri sur le conflit du Haut-Karabagh », Hyestart, 21 juin 2020. URL : https://www.hyestart.net/post/strat%C3%A9gies-performatives-dans-le-discours-nationaliste-az%C3%A9ri-sur-le-conflit-du-haut-karabagh (consulté le 10/09/2022).

Report news Agency: "Working group set up to restore Armenianized Albanian temples", February 3, 2022. URL : https://report.az/en/cultural-policy/working-group-set-up-to-restore-armenianized-temples-of-ancient-albania/ (consulté le 10/09/2022).

Telemetr: Rizvan Husseynov, post 367, 13/07/2021. URL: https://telemetr.me/content/rh_inside/post/367/ (consulté le 10/09/2022).

Wikipédia, « Cimetière de Djoulfa ». URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cimeti%-C3%A8re_de_Dj oulfa (consulté le 20/09/2022).

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